JOHN MEYERS OFFICIEL
Suite page 5
Je voulais te dire – John Meyers 2012 ©
Je voulais te dire – John Meyers 2012 ©
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
Je voulais t’aimer
Je n’ai pas su faire
Des disputes en voilà
Je ne sais faire que ça
Pourtant je croyais
Que tu m’aurais aimé
Sans jamais faillir
Et ne vouloir subir
Ce que les autres voulaient
T’aurais quand même pu me dire
Autre chose
Que ces mots vieillots
Idiots
Et pas me faire passer
Pour le con du quartier
Ou pour un enfoiré
Il est trop tard
Pour rattraper l’retard
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
Je voulais te dire
Sans aucun mot
Qu’il y a un avenir
Et un devenir
Je voulais te dire
Sans un propos
Que j’ai mal à partir
Et revenir
Le jour se lève enfin
Dans notre jardin
Où est enterré
Ton bébé adoré
C’est sur j’suis pas un chien
Celui que t’aimais bien
Moi je suis rien
Et ça tu t’en fous
Bien de moi
Moi dans le salon
Toi sur le balcon
Cigarette à la main
Un verre de pastis
Pour noyer mon chagrin
Pas besoin de police
Pour compter les points
Et encore moi de justice
Pour juger mon trop plein
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
J’aurai pas su te dire
Avec sanglots
Que j’allais p’t-être mourir
A force de souffrir
Alors qu’j’allais te dire
A bientôt
Laisse-moi partir
Avec mes souvenirs
Je voulais te dire – John Meyers 2012 ©
Je voulais te dire – John Meyers 2012 ©
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
Je voulais t’aimer
Je n’ai pas su faire
Des disputes en voilà
Je ne sais faire que ça
Pourtant je croyais
Que tu m’aurais aimé
Sans jamais faillir
Et ne vouloir subir
Ce que les autres voulaient
T’aurais quand même pu me dire
Autre chose
Que ces mots vieillots
Idiots
Et pas me faire passer
Pour le con du quartier
Ou pour un enfoiré
Il est trop tard
Pour rattraper l’retard
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
Je voulais te dire
Sans aucun mot
Qu’il y a un avenir
Et un devenir
Je voulais te dire
Sans un propos
Que j’ai mal à partir
Et revenir
Le jour se lève enfin
Dans notre jardin
Où est enterré
Ton bébé adoré
C’est sur j’suis pas un chien
Celui que t’aimais bien
Moi je suis rien
Et ça tu t’en fous
Bien de moi
Moi dans le salon
Toi sur le balcon
Cigarette à la main
Un verre de pastis
Pour noyer mon chagrin
Pas besoin de police
Pour compter les points
Et encore moi de justice
Pour juger mon trop plein
Je voudrais te dire
Sans aucun mot
Qu’il n’y a que le pire
Qui reste à venir
Je voudrais te dire
Cent mille mots
Mais je ne sais qu’écrire
Nos souvenirs
J’aurai pas su te dire
Avec sanglots
Que j’allais p’t-être mourir
A force de souffrir
Alors qu’j’allais te dire
A bientôt
Laisse-moi partir
Avec mes souvenirs
Je voulais te dire – John Meyers 2012 ©
Mon amour à jamais - John Meyers 2012 ©
Mon amour à jamais – John Meyers 2012 ©
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
Tu es mon amour à jamais
Je t’aime pour toujours, tu le sais
Je n’ai plus peur de personne à vrai dire
Car les autres sont pour moi des souvenirs
Je l’espère tu le sais
Oui, que j’y arriverai
A te faire sourire, te faire revenir
Te couvrir de bonheur, notre avenir
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
Tu es mon amour désormais
Je t’aime par amour, tu le sais
Je n’ai plus peur des personne à venir
Car les autres sont pour moi quelques soupirs
Je serai tu le sais
Oui, ton homme à jamais
Celui qui ne voudrait partir
Où bien même vouloir te laisser mourir
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
Tu es mon amour à jamais
Je t’aime pour toujours, tu le sais
Je n’ai plus peur de personne à vrai dire
Car les autres sont pour moi des souvenirs
Je l’espère tu le sais
Oui, que j’y arriverai
A te faire sourire, te faire revenir
Te couvrir de bonheur, notre avenir
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
Tu es mon amour désormais
Je t’aime par amour, tu le sais
Je n’ai plus peur des personne à venir
Car les autres sont pour moi quelques soupirs
Je serai tu le sais
Oui, ton homme à jamais
Celui qui ne voudrait partir
Où bien même vouloir te laisser mourir
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
J’aimerais tellement te dire que tu me plais
Mais j’n’ai pas le courage, toi tu le sais
J’aimerais vraiment te dire ce que tu es
Mais seulement jamais je n’y arriverai
Mon amour à jamais - John Meyers 2012 ©
Ironie du sort – John Meyers 2012 ©
Ironie du sort – John Meyers 2012 ©
Ironie du sort
Symphonie de l’or
Hérésie de mort
Poésie j’adore
Je suis naze, comme Blaze
Revenir en arrière
Faire tomber les barrières
Etre en phase, plus dans l’gaz
Ironie de l’or
Symphonie du sort
Hérésie, j’adore
Poésie de mort
Je suis sans phrase, sans jazz
Retenir les barrières
Faire dompter les arrières
Etre naze, plus en phase
Je sais que j’n’ai plus rien à espérer
Mes mots sont vides de notre histoire passée
Ton être me manque, tout est dépeuplé
J’ai voulu jouer, je n’y ai rien gagné
Tu es si libre
Pour toi je vibre
Indomptable et lionne
Je t’ai pris pour une conne
Je suis comme un marin sans âme
Dans ce port qui n’a plus de femme
Ironie du sort
Symphonie de l’or
Hérésie de mort
Poésie j’adore
Je suis naze, comme Blaze
Revenir en arrière
Faire tomber les barrières
Etre en phase, plus dans l’gaz
Ironie de l’or
Symphonie du sort
Hérésie, j’adore
Poésie de mort
Je suis sans phrase, sans jazz
Retenir les barrières
Faire dompter les arrières
Etre naze, plus en phase
Je sais que j’n’ai plus rien à espérer
Mes mots sont vides de notre histoire passée
Ton être me manque, tout est dépeuplé
J’ai voulu jouer, je n’y ai rien gagné
Tu es si libre
Pour toi je vibre
Indomptable et lionne
Je t’ai pris pour une conne
Je suis comme un marin sans âme
Dans ce port qui n’a plus de femme
Ironie du sort
Symphonie de l’or
Hérésie de mort
Poésie j’adore
Je suis naze, comme Blaze
Revenir en arrière
Faire tomber les barrières
Etre en phase, plus dans l’gaz
Ironie de l’or
Symphonie du sort
Hérésie, j’adore
Poésie de mort
Je suis sans phrase, sans jazz
Retenir les barrières
Faire dompter les arrières
Etre naze, plus en phase
Je sais que j’n’ai plus rien à espérer
Mes mots sont vides de notre histoire passée
Ton être me manque, tout est dépeuplé
J’ai voulu jouer, je n’y ai rien gagné
Tu es si libre
Pour toi je vibre
Indomptable et lionne
Je t’ai pris pour une conne
Je suis comme un marin sans âme
Dans ce port qui n’a plus de femme
Ironie du sort – John Meyers 2012©
A Paris – John Meyers 2012©
A Paris – John Meyers 2012©
C’est à Paris qu’j’irai un jour chanter l’amour
Voir toutes ces belles à Montmartre, en haut d’une tour
Même si je sais qu’elles ne veulent pas d’un troubadour
J’irai quand même à Pigalle y faire un tour
Pour y chanter tous ces beaux mots de velours
Pour y chanter tous ces beaux mots d’amour un jour
A paris on y croise de jolies filles
Qui s’habillent, et se déshabillent
Où les histoires d’un soir se font d’envie
Sur les trottoirs, dans une brasserie
Un peu d’espoir de la revoir la nuit
Celle qui me changera la vie
Toi qui sauras faire que mes yeux pétillent
Et me mettra mon cœur en vrille
C’est à Paris qu’j’irai un jour chanter l’amour
Voir toutes ces belles à Montmartre, en haut d’une tour
Même si je sais qu’elles ne veulent pas d’un troubadour
J’irai quand même à Pigalle y faire un tour
Pour y chanter tous ces beaux mots de velours
Pour y chanter tous ces beaux mots d’amour un jour
Je chanterai l’amour la nuit le jour
Pour qu’il n’en reste aucun autour
Pour la chaleur et tant de plein bonheur
Que ton odeur remplisse mon cœur
Et puis que notre union soit éternelle
Aussi haut que la tour Eiffel
Qu’l’arc de triomphe et tous ces beaux hôtels
Surtout que tu m’sois fidèle
C’est à Paris qu’j’irai un jour chanter l’amour
Voir toutes ces belles à Montmartre, en haut d’une tour
Même si je sais qu’elles ne veulent pas d’un troubadour
J’irai quand même à Pigalle y faire un tour
Pour y chanter tous ces beaux mots de velours
Pour y chanter tous ces beaux mots d’amour un jour
C’est à Paris que j’suis venu chanter l’amour
Et aux champs Elysées y faire un détour
Je n’ai croisé que des brigands que des vautours
Puis c’est là qu’mon rêve à moi a tourné court
Alors j’ai vu, et pris le chemin du retour
Et je ne chanterai plus jamais l’amour
A Paris – John Meyers 2012©