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Suite Page 7

Ma France - John Meyers 2013©

Un jour, je ne serai plus là

Pour être à coté de toi

Peut-être qu'un jour tu seras là

Ce jour, ici ou là-bas

Nos vies seront si différentes

Peut-être indépendantes

Ou même peut-être si absentes

La vie est si malfaisante

 

J'étais comme abandonné

Ou comme un peu oublié

De cette terre qui m'a donné

Juste un peu de célébrité

Ce pays que j'ai chanté

Et a qui j'ai tout dédié

Il étais une fois ma France

Chère amie de mon enfance

Chère amie de mon enfance

 

J'ai décidé de vivre là

Près d'ici ou près de toi

Ne me laisse pas si loin de toi

Je t'aime toi ma France à moi

Laisse nos idées se libérer

Juste un peu ma bien aimée

Mais sans jamais nous détacher

Je veux rester, m'accrocher

 

J'étais comme abandonné

Ou comme un peu oublié

De cette terre qui m'a donné

Juste un peu de célébrité

Ce pays que j'ai chanté

Et a qui j'ai tout dédié

Il étais une fois ma France

Chère amie de mon enfance

Chère amie de mon enfance

 

Et si jamais tu me quittais

Pour une terre que tu aimais

Ou peut-être à tout jamais

Et même si c'était discret

Jamais je ne m'en remettrai

De notre amour si mauvais

Bien même si mes larmes coulaient

Sur ton visage désuet

 

J'étais comme abandonné

Ou comme un peu oublié

De cette terre qui m'a donné

Juste un peu de célébrité

Ce pays que j'ai chanté

Et a qui j'ai tout dédié

Il étais une fois ma France

Chère amie de mon enfance

Chère amie de mon enfance

 

J'étais comme abandonné

Ou comme un peu oublié

De cette terre qui m'a donné

Juste un peu de célébrité

Ce pays que j'ai chanté

Et a qui j'ai tout dédié

Il étais une fois ma France

Chère amie de mon enfance

Chère amie de mon enfance

 

Ma France - John Meyers 2013©

Il suffira d'un mot - John Meyers 2013©

Il suffira d'un mot - John Meyers2013©

 

Il m'a suffit d'un mot

Pour écrire ces paroles

Même si ça sonne faux

Je ferai des bémols

 

Il m'a suffit d'un mot

Pour crier que j'existe

Et jamais un de trop

Sans être spécialiste

 

Il m'suffira d'un mot

Pour te dire que je t'aime

Et bien même s'il le faut

Aussi bien qu'un diadème

 

Il m'suffira qu'un jour

J'te prenne et je t'amène

Tout en haut de cette tour

Faite pour que les gens s'aiment

 

J'espère que de nouveau

Tu m'prendras à deux mains

Comme on tient un vin chaud

A l'orée des sapins

 

Je t'ouvrirai mon coeur

Pour un peu de chaleur

Peut-être du bonheur

Sans qu'il n'y ait de pleurs

 

Il m'suffira d'un mot

Pour te dire que je t'aime

Et bien même s'il le faut

Aussi bien qu'un diadème

 

Il m'suffira qu'un jour

J'te prenne et je t'amène

Tout en haut de cette tour

Faite pour que les gens s'aiment

 

J'attendrai ton visage

Non loin des océans

Pour écrire sur la plage

Ton prénom en géant

 

Je vaincrai cette attente

Oui celle de ton retour

Si tu es impatiente

Je ferai des détours

 

Il m'suffira d'un mot

Pour te dire que je t'aime

Et bien même s'il le faut

Aussi bien qu'un diadème

 

Il m'suffira qu'un jour

J'te prenne et je t'amène

Tout en haut de cette tour

Faite pour que les gens s'aiment

 

Il suffira d'un mot - John Meyers 2013©

Fièvre sainte - John Meyers 2013©

Fièvre sainte

 

Une fièvre saine

Envahit ma tête

Sainte

Absences d'envergures

Sûres

Chaleur du corps

Je perds le nord

Et dors

 

Une fièvre sainte

Faite de défaites

Maintes

Passions si obscures

Mûres

Sous son décor

Je fais le mort

Encore

 

Cette fumée de cigarette nocive

Que tu prends entre tes lèvres naïves

Me laisse perplexe

Tel un tyrex

 

Je reste statique comme ironique

Regardant ta chronique presque oblique

Absence de texte

Et de réflex

 

Une fièvre saine

Envahit ma tête

Sainte

Absences d'envergures

Sûres

Chaleur du corps

Je perds le nord

Et dors

 

Une fièvre sainte

Faite de défaites

Maintes

Passions si obscures

Mûres

Sous son décor

Je fais le mort

Encore

 

Caresses douces d'une éponge en mousse

Passent sur mon corps elles sont si douces

Aux fleurs de lys

Senteur anis

 

Je sens ton souffle tout près de ma bouche

Saveurs exquises, tu n'es pas farouche

Plutôt vin rouge

Plus rien ne bouge

 

Une fièvre saine

Envahit ma tête

Sainte

Absences d'envergures

Sûres

Chaleur du corps

Je perds le nord

Et dors

 

Une fièvre sainte

Faite de défaites

Maintes

Passions si obscures

Mûres

Sous son décor

Je fais le mort

Encore

 

Une fièvre saine

Envahit ma tête

Sainte

Absences d'envergures

Sûres

Chaleur du corps

Je perds le nord

Et dors

 

Une fièvre sainte

Faite de défaites

Maintes

Passions si obscures

Mûres

Sous son décor

Je fais le mort

Encore....

Et encore....

 

Fièvre sainte - John Meyers 2013©

 

Jane - John Meyers 2013©

Jane

 

Quand Jane se refuse à toutes satisfactions

Alors, j'use, abuse

La muse écarte ma main avec persuasion

Je tente avec ruse

D'obtenir d'elle tout avec délectation

Que mes doigts s'amusent

 

Quand Jane se fait chienne et que rien ne l'empenne

Elle est redoutable

Je ne peux pas y toucher sans que j'enfreigne

Son coeur inviolable

Jane est insaisissable et sans aucune gène

Une fleur intouchable

 

Jane entrouvre ses jambes lisses qui n'en finissent

Où rien n'est factice

J'observe sa main qui glisse entre ses deux cuisses

Délit de peau lisse

Elle porte un doigt à ses lèvres avec malice

Sans qu'elle ne vagisse

 

Sa peau blanche innocente exalte mes vices

Sans aucune pudeur

Elle provoque en moi ce désir pythonisse

Sans aucune lueur

Sa posture laisse entrevoir ses seins d'esquisse

Ils se font leurres

 

Quand Jane se refuse à toutes satisfactions

Alors, j'use, abuse

La muse écarte ma main avec persuasion

Je tente avec ruse

D'obtenir d'elle tout avec délectation

Que mes doigts s'amusent

 

Quand Jane se fait chienne et que rien ne l'empenne

Elle est redoutable

Je ne peux pas y toucher sans que j'enfreigne

Son coeur inviolable

Jane est insaisissable et sans aucune gène

Une fleur intouchable

 

A Jane....

 

Jane - John Meyers 2013©

 

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