JOHN MEYERS OFFICIEL
Suite page 4
De Gainsbarre à Gainsbourg
John Meyers 2012©
De Gainsbarre à Gainsbourg
John Meyers 2012©
Parfois, je me prends pour Gainsbarre ou Gainsbourg
Je me barre et je me bourre,
La gueule,
Au détour d'un bar, dans un bourg,
Ta gueule,
Moi la star et vous les lourds
Je me marre et je suis sourd,
Vos gueules mes amours.
John Meyers 2012©
Viva il sole – John Meyers 2012 ©
Viva il sole – John Meyers 2012 ©
Chaque matin quand il se lève,
Je suis comme dans un rêve,
Il illumine ma journée
Puis je pars du bon pied
Les couleurs de la rosée
Lui reflète toute sa beauté.
Ses rayons font de lui roi
Majestueux et somptueux
Eclatant comme de la soie
Aussi splendide, merveilleux
Il réveille toute la campagne
Comme un bouchon de champagne.
Viva il sole, viva il sole~~ ~
Tu es mon soleil,
Toi qui m’émerveilles
Et tous les matins,
Finis les chagrins
Et puis en cette belle journée
Je ne peux qu’imaginer
Etendu sur une plage
De la crème sur le visage
Me prélasser et bronzer
Sous tes rayons, tes UV.
Et avant la nuit tomber
J’aimerais te regarder
Disparaître et te coucher
Jaune orangé et rosé
Tout comme l’été indien
Que nous chantait Joe Dassin
Viva il sole, viva il sole~~ ~
Tu es mon soleil,
Toi qui m’émerveilles
Et tous les matins,
Finis les chagrins
Viva il sole, viva il sole~~ ~
La nuit est tombée
Tu es retourné
Dormir sans briller
Et je t’attendrai
Viva il sole – John Meyers 2012 ©
Le coeur lourd John Meyers 2012©
Le coeur lourd John Meyers 2012©
Mon cœur est lourd et devient sourd
Le sommeil est mon ennemi, tant pis.
Qu'il veille sur mon sort, sur mon amour,
Sur la candeur de mes nuits, aussi.
J'ai tant de peine à le trouver, caché.
Qu'il ne cesse de me tourmenter,
De mes nuits effarouchées, délabrées.
Si seulement il pouvait m'emporter
Dans ce sommeil que je ne trouverai.
John Meyers 2012©
La route - John Meyers 2012 ©
La route – John Meyers 2012©
Une nuit de pleine lune
Pas une seule blonde ni brune
Son reflet sur la lagune
Je cherche mais n’en trouve aucune
J’imagine son visage
Une jeune dame de mon âge
Qui marche seule sous l’orage
A qui je rendrais hommage
J’erre tout seul sous cette pluie
Qui jamais ne finie
Sur les trottoirs de l’ennui
Pas une ombre pas une vie
J’ne sais pas où aller
Ce chemin oublié
Je devrais plutôt rentrer
Que de zoner dans’le quartier
J'ai perdu ma route
Oui sans aucun doute
Et même le chemin
C’ui de mon destin
J’suis pas un marin
Où bien ou quelqu’un
Qui cherche une main
Oui, j’ai perdu la route
Oh oui, sans aucun doute
L’ombre de tes seins
Le creux de tes reins
Oui, j’étais le tien
Maint’nant j’suis pas bien
Un envie de rien…
J’ai perdu ma route
Oui sans aucun doute
Et même le chemin
C’ui de mon destin
J’suis pas un marin
Où bien ou quelqu’un
Qui cherche une main
Oui, j’ai perdu la route
Oh oui, sans aucun doute
L’ombre de tes seins
Le creux de tes reins
Oui, j’étais le tien
Maint’nant j’suis pas bien
Un envie de rien…
J’ai trouvé un taxi
Qui m’emmène dans la nuit
Voir ces gens qui font du bruit
A croire qu’ils n’ont pas de vie
Et je cherche toujours celle
Qui m’donnera l’étincelle
Je n’aurai d’yeux que pour elle
Surtout pourvu qu’elle m’appelle
J’ai perdu ma route
Oui sans aucun doute
Et même le chemin
C’ui de mon destin
J’suis pas un marin
Où bien ou quelqu’un
Qui cherche une main
Oui, j’ai perdu la route
Oh oui, sans aucun doute
L’ombre de tes seins
Le creux de tes reins
Oui, j’étais le tien
Maint’nant j’suis pas bien
Un envie de rien…
J’ai perdu ma route
Oui sans aucun doute
Et même le chemin
C’ui de mon destin
J’suis pas un marin
Où bien ou quelqu’un
Qui cherche une main
Oui, j’ai perdu la route
Oh oui, sans aucun doute
L’ombre de tes seins
Le creux de tes reins
Oui, j’étais le tien
Maint’nant j’suis pas bien
Un envie de rien…
Et pis voilà la fin
La fin de mon chemin
J’ai croisé ni chat ni chien
Ainsi, tel est mon destin
Du coup je finis seul
Seul, avec mon orgueil
Pis, c’est bien fait pour ma gueule
Finir au thé au tilleuil
J’ai perdu ma route
Oui sans aucun doute
Et même le chemin
C’ui de mon destin
J’suis pas un marin
Où bien ou quelqu’un
Qui cherche une main
Oui, j’ai perdu la route
Oh oui, sans aucun doute
L’ombre de tes seins
Le creux de tes reins
Oui, j’étais le tien
Maint’nant j’suis pas bien
Il ne reste rien.
La route – John Meyers 2012©