JOHN MEYERS OFFICIEL
Suite page 8
Abîmer les mots - John Meyers 2013©
Abîmer les mots
Abîmer les mots
C'est en dire de trop
Abîmer les mots
C'est quand ils sont faux
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
Parc'qu'ils sont idiots
Dictés par des sots
Redonner aux mots
Tout leur sens si beau
Raviver les mots
Pour qu'ils coulent à flots
Abîmer les mots
C'est en dire de trop
Abîmer les mots
C'est quand ils sont faux
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
Parc'qu'ils sont si gros
Ca les rend zéro
Reformer des "o"
Pour aller plus haut
Sublimer ces mots
Pour les rendre égaux
Abîmer les mots
C'est en dire de trop
Abîmer les mots
C'est quand ils sont faux
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
Partager ses mots
Pour qu'ils sonnent DO
Des mélis-mélos
Pour chanter eh oh
Arranger les mots
Pour faire un duo
Abîmer les mots
C'est en dire de trop
Abîmer les mots
C'est quand ils sont faux
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
N'y voir de défaut
Etre comme un pro
Un pro de l'impro
Basculer s'il faut
Vers des maîtres mots
Pour en faire cadeau
Abîmer les mots
C'est en dire de trop
Abîmer les mots
C'est quand ils sont faux
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les mots
Abîmer les m--o--ts
John Meyers 2013©
Cocaine - John Meyers 2013©2013©2013©2013©
Cocaine - John Meyers 2013©
Je me souviens du goût de la cocaine
Irritant mes narines
Brulante farine
Et pourtant nous avions fait copain copine
Pour ce que j'imagine
Mon adrénaline
Tu as fait de ma vie un rêve, un enfer
Parc'que sans toi naguère
Tout était désert
Toi qui m'a donné tant d'illusions de fer
De pouvoir si pervers
Si imaginaires
Laisse moi vivre ma vie
Je t'en supplie
Laisse moi tranquille la nuit
Dormir aussi
Laisse moi oui je t'en prie
Construire ma vie
Laisse moi je t'en supplie
Laisse moi vivre une vie
Par ta faute, presque tous mes amis m'ont fuis
Même tous ceux de la nuit
Comme ceux d'aujourd'hui
Pour eux, j'étais dit cet homme source à ennuis
Provocateur qui nuit
Oui abruti
A cause de toi j'ai tout perdu mon argent
Moi qui étais fringant
Toujours souriant
Tu as détruis ma vie, ma santé, faisant
De moi un cas gênant
Aux gens, parents
Laisse moi vivre ma vie
Je t'en supplie
Laisse moi tranquille la nuit
Dormir aussi
Laisse moi oui je t'en prie
Construire ma vie
Laisse moi je t'en supplie
Laisse moi vivre une vie
N'essaie jamais cette drogue pour faire comme les autres
Car elle apporte entre autre
De croire être des nôtres
De riches initiés qui croient être forts
Mais ils sont déjà morts
Quel triste sort
Moi qui croyais que la coke était géniale
Alors qu'elle apporte le mal
Issue fatale
Dépression, frustration, une vie infernale
Une joie pondérale
Tu parles que dalle
Laisse moi vivre ma vie
Je t'en supplie
Laisse moi tranquille la nuit
Dormir aussi
Laisse moi oui je t'en prie
Construire ma vie
Laisse moi je t'en supplie
Laisse moi vivre une vie
Tu m'as pris ma vie, mon histoire ma copine
Une merde cette cocaïne
Salop'rie divine
J'étais comme destiné à mon triste sort
J'en avais des remords
J'étais déjà mort
Cocaine - John Meyers 2013©
Quand j'étais con - John Meyers 2013©
Quand j'étais con - John Meyers 2013©
Quand j'étais con
Je dépassais le mur du son
Pour mal finir à toucher l'fond
Quand j'étais con
J'me voyais pas comme un mouton
Tellement j'étais con
Si bête sans raison
Le meilleur des meilleurs champions
J'rêvais d'être un jour mon idole
De pouvoir jouer la cage aux folles
Le plus beau des oiseaux qui vole
Avoir toujours le premier rôle
Quand j'étais con
Je dépassais le mur du son
Pour mal finir à toucher l'fond
Quand j'étais con
J'me voyais pas comme un mouton
Tellement j'étais con
Si bête sans raison
Le meilleur des meilleurs champions
Choisir les filles dans les revues
Mater leurs fesses quand elles sont nues
Les amener à Honolulu
Les faire fantasmer, qui l'eut cru
Quand j'étais con
Je dépassais le mur du son
Pour mal finir à toucher l'fond
Quand j'étais con
J'me voyais pas comme un mouton
Tellement j'étais con
Si bête sans raison
Le meilleur des meilleurs champions
Et que j'n'ai pas besoin de pastiche
Pour leur faire croire que je suis riche
J'étais le maître de la triche
Je m'voyais en haut de l'affiche
Quand j'étais con
Je dépassais le mur du son
Pour mal finir à toucher l'fond
Quand j'étais con
J'me voyais pas comme un mouton
Tellement j'étais con
Si bête sans raison
J'étais le roi des pauvres cons
Quand j'étais con
Quand j'étais con
Quand j'étais con - John Meyers 2013
Je t'aimais tant - John Meyers 2013©
Je t'aimais tant - John Meyers©
Il était une fois, au détour
D'une clairière magique, l'amour
Où l'herbe est aussi douce que du velours
Là où le soleil l'éclaire chaque jour
Elle me rappelle alors mon jeune âge
Je courrais au milieu des fourrages
Ecrasant de mon pied les fleurs sauvages
Et cherchant ton visage dans les nuages
Je t'aimais tant
Ma belle au bois dormant
Et même autant
Qu'en emporte le vent
Je t'aimais tant
Moi le prince non charmant
Laisse moi portant
Devenir ton amant
Je repense à tous ces beaux moments
Si illusoires, certes, mais cependant
Merveilleux comme dans les rêves d'enfants
Plein de douceur sur des chardons ardents
Que tu étais belle, mon immortelle
J'imaginais ton corps si charnel
Battant les vents et les colères du ciel
Sur ta peau claire au goût de miel
Je t'aimais tant
Ma belle au bois dormant
Et même autant
Qu'en emporte le vent
Je t'aimais tant
Moi le prince non charmant
Laisse moi portant
Devenir ton amant
Il était une fois, au détour
D'une clairière magique, l'amour
Où l'herbe est aussi douce que du velours
Là où le soleil l'éclaire chaque jour
Elle me rappelle alors mon jeune âge
Je courrais au milieu des fourrages
Ecrasant de mon pied les fleurs sauvages
Et cherchant ton visage dans les nuages
Je t'aimais tant
Ma belle au bois dormant
Et même autant
Qu'en emporte le vent
Je t'aimais tant
Moi le prince non charmant
Laisse moi portant
Devenir ton amant
Je repense à tous ces beaux moments
Si illusoires, certes, mais cependant
Merveilleux comme dans les rêves d'enfants
Plein de douceur sur des chardons ardents
Que tu étais belle, mon immortelle
J'imaginais ton corps si charnel
Battant les vents et les colères du ciel
Sur ta peau claire au goût de miel
Je t'aimais tant....
Je t'aimais tant - John Meyers 2013©